Sidoine Apollinaire rapporte ici les propos de Théodoric II en faveur d'un prétendant lors d'une assemblée devant choisir le nouvel empereur de Rome.
"Par toi je suis devenu favorable à la puissance romaine et mon père voulut que son enfant apprît de ta bouche comment l'antique poésie de Virgile pourrait adoucir l'âpreté scythique de nos moeurs."